L’Histoire de la Rédemption: « La tentation et la chute »

Par Ellen G. White

SATAN prit la forme d’un serpent et entra dans le jardin d’Eden. Cet animal était une merveilleuse créature qui avait des ailes et qui, en plein vol, avait l’éclat de l’or poli. Il ne rampait pas sur le sol, mais volait cà et là et mangeait des fruits comme l’homme. Satan entra dans le serpent, prit position dans l’arbre de la connaissance, et commenca à manger tranquillement de son fruit.

Sans s’en rendre compte, Eve s’était éloignée de son mari  au cours de leurs occupations. S’apercevant tout à coup qu’elle était seule, elle éprouva d’abord un sentiment  d’effroi,  mais elle ne tarda pas à se sentir en sécurité, bien que son mari ne fusse pas à ses côtés. Elle se dit  qu’elle  était  assez  sage et forte pour reconnaître le malin et pour l’affronter. Oubliant les recommandations de l’ange, elle se trouva bientôt en face de l’arbre défendu, qu’elle regarda avec un mélange de curiosité et d’admiration. Voyant que son fruit était très beau, elle se demanda pourquoi Dieu leur avait interdit d’y toucher et d’en manger. Satan profita de l’occasion pour intervenir. Comme s’il pouvait deviner ses pensées, il dit à la femme : “Est-ce vrai que Dieu vous a dit : “Vous ne devez manger aucun fruit du jardin” ?” Genèse 3 :1 **. C’est ainsi qu’avec une voix mélodieuse et caressante, le diable s’adressa à Eve qui fut surprise et trouva étrange qu’un serpent puisse parler. Il la complimenta pour sa beauté incomparable, ce qu’elle écouta non sans plaisir. Quoi qu’il en soit, elle fut saisie d’étonnement, car elle savait que Dieu n’avait pas donné au serpent la faculté de parler.

La curiosité d’Eve fut éveillée et, au lieu de s’enfuir, elle  s’attarda, émerveillée d’entendre parler un serpent. Il ne lui vint pas à l’esprit que ce séduisant animal pouvait être un ange déchu. En fait, ce n’était pas le serpent qui avait parlé, mais Satan lui-même. Eve fut charmée, séduite, et perdit la tête. Si elle avait rencontré un personnage imposant, possédant une forme comparable à celle des anges, elle aurait été sur ses gardes. En tout cas, cette voix étrange aurait dû la pousser à retourner auprès de son mari et à lui demander pourquoi un autre que lui pouvait s’adresser à elle aussi librement. Au lieu de cela, elle commença à discuter avec le serpent et répondit à sa question : “Nous pouvons manger les fruits du jardin. Mais quant aux fruits de l’arbre qui est au centre du jardin, Dieu nous a dit : “Vous ne devez pas en manger, pas même y toucher, de peur d’en mourir”. Le serpent répliqua : Pas du tout, vous ne mourrez pas. Mais Dieu le sait bien ; dès que vous en aurez mangé, vous verrez les choses telles qu’elles sont, vous serez comme lui, capables de savoir ce qui est bien ou mal.” Genèse 3 :2-5.

Le tentateur voulait faire croire à Eve qu’en mangeant du fruit de cet arbre, elle et son mari accéderaient à une sphère      de connaissances plus élevées que celle qu’ils avaient atteinte jusque-là. Depuis sa chute, la tactique particulièrement efficace de Satan a été la même : inciter les humains à pénétrer les secrets du Très-Haut, à se montrer insatisfaits de ce qu’il leur a révélé, et à ne pas obéir implicitement à ses commandements. L’adversaire pousse les hommes à la désobéissance en leur suggérant que le terrain défendu va leur dévoiler de merveilleux secrets, Mais ce n’est là qu’illusion et vile tromperie.

N’arrivant pas à comprendre ce que Dieu a révélé, les hommes négligent ses ordres explicites, et cherchent à sonder ce qu’il      a voulu cacher aux mortels. Grisés par leurs idées de progrès    et séduits par leurs vaines philosophies, ils tâtonnent dans les ténèbres au lieu d’obtenir la véritable connaissance. Toujours en train d’apprendre, ils ne parviennent jamais à la connaissance de la vérité.

Dieu ne voulait pas que ce couple innocent eût la moindre connaissance du mal. Il leur avait généreusement dispensé le bien, et les avait protégés du mal. Eve pensa que les paroles du serpent étaient sages, et elle crut à son audacieuse déclaration : “Pas du tout, vous ne mourrez pas. Mais Dieu le sait bien : dès que vous en aurez mangé, vous verrez les choses telles qu’elles sont, vous serez comme lui, capables de savoir ce qui est bien ou mal”. Cela équivalait à dire que le Créateur avait menti. Le diable alla jusqu’à insinuer que le Seigneur avait trompé nos premiers parents pour les empêcher d’atteindre un niveau de connaissance égal au sien. Dieu avait dit : “Vous ne devez pas en manger, pas même y toucher, de peur d’en mourir”. Mais le serpent rétorqua : “Pas du tout, vous ne mourrez pas”.

S’adressant à Eve, le tentateur affirma qu’aussitôt qu’elle mangerait le fruit, elle parviendrait à une sphère de connaissance plus élevée, ce qui la placerait sur un pied d’égalité avec Dieu. Attirant son attention sur lui-même, le serpent déclara qu’il mangeait librement du fruit de l’arbre, et que celui-ci était non seulement inoffensif, mais délicieux et stimulant. Il ajouta que c’était justement à cause de ses merveilleuses propriétés qui donnaient sagesse et puissance que le Seigneur leur avait interdit d’en manger, et même d’y toucher, car il en connaissait bien les vertus. Satan déclara que c’est après avoir mangé du fruit défendu qu’il avait acquis la faculté de parler.

Selon lui, Dieu ne tiendrait pas parole. Ce n’était de sa part rien de plus qu’une menace destinée à les intimider et à les empêcher d’atteindre un niveau de bonheur plus élevé et une joie plus parfaite. Le diable cueillit alors un fruit, et le tendit à Eve qui    le prit. “Eh bien, lui dit-il, ne vous avait-on pas interdit de le toucher, de peur que vous ne mourriez ?” Il s’empressa d’ajouter qu’elle ne serait pas plus affectée par le mal et la mort pour l’avoir mangé qu’elle ne l’avait été pour l’avoir touché de sa main. Eve s’enhardit parce qu’elle ne sentit pas immédiatement les signes du déplaisir divin. Trouvant que les paroles du tentateur étaient justes et sensées, elle mangea du fruit. Son goût lui parut excellent, et elle crut en ressentir déjà les effets merveilleux.

Eve devient la tentatrice

Eve cueilla alors elle-même un fruit, et elle en mangea. Elle crut de nouveau ressentir en elle une force vivifiante et s’imagina entrer dans une sphère plus élevée, résultat direct de la vertu   du fruit interdit. Sous l’empire d’une étrange fascination, elle alla trouver son mari, le fruit défendu dans les mains. Elle lui rapporta les paroles perspicaces du serpent, et voulut le conduire immédiatement auprès de l’arbre de la connaissance. Elle lui dit avoir goûté du fruit et que, loin de s’être sentie envahie par la mort, elle avait éprouvé une sensation agréable et stimulante. Aussitôt qu’Eve eut désobéi, elle devint un instrument puissant pour entraîner son mari dans sa chute.

Je vis que le visage d’Adam était couvert de tristesse. Il était visiblement étonné et rempli de crainte. Son esprit était en proie à un terrible combat. Il dit à Eve qu’elle avait certainement eu affaire à l’ennemi contre lequel on les avait mis en garde, et qu’elle allait mourir. Mais elle affirma qu’elle ne ressentait aucun malaise, qu’elle éprouvait au contraire une sensation délicieuse, et elle l’engagea à manger du fruit.

Adam comprit aussitôt que sa femme avait passé outre à        la seule défense qui leur avait été imposée pour éprouver leur fidélité et leur amour. Eve insista en disant que le serpent lui avait donné l’assurance qu’ils ne mourraient pas. A son avis, ce qu’il avait dit devait être vrai, puisqu’elle ne sentait aucun signe du déplaisir de Dieu, mais plutôt une sensation agréable, comme celle que les anges éprouvaient sans doute.

Adam regretta qu’Eve se fût éloignée de lui, mais l’acte ayant été accompli, il serait forcément séparé de celle dont la compagnie faisait sa joie. Qu’allait-il advenir maintenant ? Son amour pour elle était très grand. Profondément découragé, il décida de partager le sort qui était réservé à sa femme. Il se      dit qu’Eve était une partie de son être, et que, si elle devait mourir, il mourrait avec elle, car il ne pouvait supporter l’idée de s’en séparer. En cela, Adam manqua de foi envers son généreux et bienveillant Créateur. Il ne lui vint pas à l’esprit que Dieu,  qui l’avait formé de la poussière de la terre et avait fait de lui   un être vivant, aux formes merveilleuses, qui avait créé Eve,    sa compagne, pouvait aussi la remplacer. Eve était là, devant lui, aussi ravissante et apparemment aussi innocente qu’avant sa désobéissance. Elle lui manifesta même un amour plus profond que jamais, comme sous l’effet du fruit qu’elle avait mangé, et il ne vit aucun signe de mort sur ses traits. Elle lui avait parlé des vertus bienfaisantes de ce fruit, de son grand amour pour lui, son mari, et il décida d’assumer les conséquences de la situation, quelles qu’elles soient. Il prit donc le fruit, s’empressa de le manger, et il n’en ressentit pas immédiatement les effets nocifs.

Eve croyait pouvoir discerner entre le bien et le mal. L’espérance trompeuse d’accéder à un niveau plus élevé de connaissance l’avait conduite à penser que le serpent était son ami, et qu’il s’intéressait à son bien-être. Si elle avait au préalable consulté son mari et s’ils avaient rapporté au Créateur les paroles du serpent, ils auraient échappé à cette tentation subtile. Le Seigneur ne voulait pas qu’ils s’approchent de l’arbre de la connaissance, car ils seraient par là même exposés aux pièges  de Satan. Dieu savait que, s’ils ne touchaient pas le fruit défendu, ils seraient parfaitement en sécurité.

Le libre arbitre de l’homme

Le Très-Haut avait instruit nos premiers parents au sujet de l’arbre de la connaissance ; ils étaient pleinement informés de la chute de Satan et du danger qu’ils couraient en prêtant l’oreille à ses suggestions. Cependant, il ne les mit pas dans l’impossibilité de manger du fruit interdit. En tant qu’êtres libres, ils pouvaient ou bien croire en sa parole, obéir à ses commandements  et vivre, ou bien faire confiance au tentateur, désobéir et périr.    Or, tous deux mangèrent du fruit, et la seule grande sagesse qu’ils obtinrent fut la connaissance du péché et un sentiment de culpabilité. Leur vêtement de lumière ne tarda pas à disparaître, et, remplis de remords pour avoir perdu ce vêtement divin, ils commencèrent à trembler et essayèrent de couvrir leur nudité.

Ainsi, nos premiers parents avaient décidé d’écouter les paroles d’un serpent, qui ne leur avait donné aucune preuve de son amour. Alors que Dieu leur avait accordé tout ce qui est bon à manger et agréable à la vue, Satan n’avait nullement contribué à leur bonheur et à leur bien-être. Partout les yeux pouvaient contempler l’abondance et la beauté, et, cependant, Eve fut trompée par le serpent, parce qu’elle avait cru qu’on les avait privés de quelque chose qui pouvait les rendre aussi intelligents que le Très-Haut. Au lieu  de faire confiance à Dieu, elle se méfia de sa bonté et se plut à écouter les paroles de Satan.

Une fois qu’Adam eut transgressé l’ordre divin, il eut tout d’abord l’impression d’accéder à une sphère nouvelle et plus élevée. Mais bientôt, la pensée de sa faute le remplit de terreur. L’atmosphère, qui avait toujours été douce et uniforme, parut glaciale à l’homme et à sa femme. Le couple désobéissant ployait sous le fardeau de son péché. Ils avaient peur de l’avenir et éprouvaient un sentiment de vide. L’amour,  la douce paix    et le  bonheur  qu’ils  avaient  connus  jusqu’alors  firent  place  à un sentiment de dénuement qu’ils n’avaient jamais ressenti auparavant. Puis, pour la première fois, ils remarquèrent leur apparence extérieure. Jusqu’à ce jour, ils ne portaient pas de vêtements ; ils étaient couverts d’habits  de  lumière,  comme  les anges du ciel. Mais cette lumière dont ils étaient entourés avait disparu. Pour dissiper leur impression de dénuement, ils cherchèrent de quoi se couvrir, car comment oseraient-ils se présenter nus devant Dieu et devant les anges ?

Leur faute apparut alors à leurs yeux sous son vrai jour.  Leur transgression du commandement explicite de Dieu prit un relief plus précis. Adam reprocha à Eve la folie dont elle avait fait preuve en s’éloignant de lui, et de s’être laissée séduire    par le serpent. Néanmoins, l’un et l’autre se rassurèrent à l’idée que celui qui les avait comblés jusque-là de tant de bontés, pardonnerait sans doute leur désobéissance à cause de son grand amour, et que leur châtiment ne serait peut-être pas aussi sévère qu’ils pouvaient le penser.

De son côté, Satan se réjouit de son succès : il avait poussé Eve à manquer de confiance en Dieu, à douter de sa sagesse, à essayer de pénétrer ses desseins. Par elle, il avait provoqué la chute d’Adam qui, par amour pour sa femme, avait désobéi à l’ordre du Créateur et péché avec elle.

La nouvelle de la chute de l’homme se répandit à travers le ciel. Toutes les harpes se turent. Les anges ôtèrent leur couronnes en signe de tristesse. Tout le ciel fut bouleversé. Les anges furent affligés de voir l’ingratitude inqualifiable de l’homme comparée aux riches bénédictions que le Seigneur lui avait accordées. Un conseil fut réuni pour décider ce qu’il convenait de faire à l’égard des coupables. Les anges craignaient que ceux-ci n’avancent la main, ne mangent du fruit de l’arbre de vie, et ne deviennent des pécheurs immortels.

Le Seigneur s’adressa à Adam et Eve, et leur fit connaître les conséquences de leur désobéissance. A l’approche de la majesté du Très-Haut, ils cherchèrent à se cacher, alors qu’auparavant, dans leur innocence et leur sainteté, ils se réjouissaient de pouvoir rencontrer Dieu. “Le Seigneur Dieu appela l’homme et lui demanda : Où es-tu ? L’homme répondit : Je t’ai entendu  dans le jardin. J’ai eu peur, car je suis nu, et je me suis caché. Qui t’a appris que tu étais nu, demanda le Seigneur Dieu ; aurais-tu goûté au fruit que je t’avais défendu de manger ?” Genèse 3 :9-11. Le Seigneur posa cette question, non parce qu’il avait besoin d’être informé, mais pour convaincre le couple de sa culpabilité : Qu’est-ce qui vous fait éprouver de la honte, et pourquoi avez-vous peur ? Si Adam reconnut sa transgression, ce ne fut pas parce qu’il se repentit de sa désobéissance, mais pour en rejeter la responsabilité sur Dieu : “C’est la femme que tu m’as donnée pour compagne ; c’est elle qui m’a donné ce fruit, et j’en ai mangé. Le Seigneur Dieu dit alors à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? Elle répondit : Le serpent m’a trompée, et j’ai mangé du fruit” Genèse 3 :12, 13.

La malédiction

Le Seigneur prononça alors la condamnation du serpent : “Puisque tu as fait cela, je te maudis. Seul de tous les animaux tu devras ramper sur ton ventre et manger de la poussière tous les jours de ta vie” Genèse 3 :14. Après avoir été la plus admirée des créatures des champs, il allait devenir la plus rampante de toutes et la plus détestée des humains, puisque le serpent avait été l’instrument de Satan. “Il (le Seigneur Dieu) dit enfin à l’homme : Tu as écouté la suggestion de ta femme et tu as mangé le fruit que je t’avais défendu. Eh bien, par ta faute, le sol est maintenant maudit. Tu auras beaucoup de peine à en tirer ta nourriture pendant toute ta vie ; il produira pour toi épines et chardons. Tu devras manger ce qui pousse dans les champs ; tu gagneras ton pain à la sueur de ton front, jusqu’à ce que tu retournes à la terre dont tu as été tiré” Genèse 3 :17-19.

Dieu maudit la terre à cause du péché commis par Adam et Eve qui avaient mangé de l’arbre de la connaissance, et il dit : “Tu auras beaucoup de peine à en tirer ta nourriture pendant toute ta vie”. Il leur avait prodigué le bien et voilé le mal. Désormais, ils allaient continuer à en manger, c’est-à-dire à côtoyer le mal tous les jours de leur vie.

Dès lors, la race humaine allait être harcelée par les tentations de Satan. Aux occupations paisibles qui lui avaient été assignées, allaient succéder les soucis et le labeur quotidien, les déceptions, les chagrins, la souffrance, et finalement la mort. L’homme et la femme

 

 

avaient été faits avec la poussière de la terre, et ils retourneraient à la poussière.

Adam et Eve furent informés qu’ils ne pourraient plus résider dans le jardin d’Eden. Ils étaient tombés dans les pièges de Satan et avaient cru en ses paroles selon lesquelles Dieu leur avait menti. En transgressant l’ordre du Créateur, ils avaient ouvert   la voie à l’adversaire qui pourrait alors entrer plus facilement   en contact avec eux. Aussi n’était-il pas prudent pour eux de rester dans le jardin d’Eden  où  ils  auraient  accès  à  l’arbre  de vie et risqueraient ainsi de perpétuer  une  vie  de  péché.  Tout  en reconnaissant qu’ils avaient perdu le droit d’occuper   ce merveilleux paradis, ils supplièrent Dieu de leur permettre d’y rester. Ils promirent de se conformer désormais strictement aux ordres du Très-Haut. Il leur fut répondu que par suite de leur chute de l’état d’innocence dans la condition de pécheurs, non seulement ils ne s’étaient pas fortifiés, mais qu’il s’étaient grandement affaiblis. Etant donné qu’ils n’avaient pu conserver leur intégrité alors qu’ils possédaient l’innocence et la sainteté, ils seraient bien moins à même de rester fidèles, maintenant qu’ils avaient une nature pécheresse. Prenant alors conscience que le châtiment du péché, c’est la mort, Adam et Eve furent envahis par un profond sentiment d’angoisse et de remords.

Des anges reçurent l’ordre de garder le chemin conduisant   à l’arbre de vie. Satan avait espéré que nos premiers parents désobéiraient à Dieu, encourraient sa réprobation, puis qu’ils  mangeraient de l’arbre de vie, et qu’ils pourraient ainsi vivre pour toujours dans le péché. Mais de saints anges furent envoyés pour leur barrer l’accès de l’arbre de vie. La lumière qui rayonnait autour de ces anges avait l’apparence d’une épée flamboyante.

Source: L’Histoire de la Redemption de Ellen G. White

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