Quelle heure affiche votre montre ou votre smartphone ? Qu’est-ce que le temps signifie pour vous ? Pour un nouveau-né, c’est une toile vierge, un océan de possibilités ; pour une personne en fin de vie, c’est quelque chose qu’il faut savourer, en sachant qu’il ne reste plus grandchose ; pour un musicien, c’est le rythme de la mélodie, la mesure du battement ; pour un astronome, c’est le mouvement des étoiles, la rotation des planètes. Pour celui qui regarde une vieille photo, c’est un fleuve de souvenirs, un courant de nostalgie ; pour celui qui a échappé de peu à la mort, c’est un cadeau, une seconde chance. Bref, chaque personne fait une expérience du temps de façon unique, en fonction du moment vécu ou de l’activité exercée.
Alors qu’il réfléchissait sur le temps, Augustin a exprimé sa difficulté à le définir : « Qu’est-ce que le temps ? Si personne ne me le demande, je le sais ; mais si on me le demande, et que je veuille l’expliquer, je ne le sais plus1. » Emmanuel Kant, quant à lui, est allé jusqu’à considérer que le temps n’était pas une réalité objective existant indépendamment de nous. Pour lui, il s’agissait plutôt d’une pure intuition de notre sensibilité, d’une forme a priori que nous utilisons pour organiser nos expériences2. Tout au long de l’histoire, de nombreux autres penseurs confrontés au défi de définir le temps ont partagé des perceptions différentes à son sujet3. En général, le temps était considéré comme quelque chose d’absolu, enfin, jusqu’à ce qu’en 1905, le physicien Albert Einstein publie sa célèbre théorie de la relativité restreinte, laquelle allait changer à tout jamais notre façon de comprendre le monde. Selon Einstein, le temps ne s’écoule pas toujours à la même vitesse ; son écoulement change en fonction de la vitesse de la matière par rapport à la vitesse à laquelle il est mesuré.
Pour illustrer ce concept, imaginez que vous voyagiez dans un vaisseau spatial ultra rapide, proche de la vitesse de la lumière, soit environ 300 000 kilomètres par seconde4. Selon la théorie de la relativité restreinte d’Einstein, le temps s’écoulerait plus lentement pour vous à bord que du point de vue des personnes restées sur la terre. Ce n’est pas que votre montre ou vos battements de cœur ralentiraient comme par magie – vous ne sentiriez, en fait, aucune différence. Mais de la perspective des terriens, votre horloge tournerait plus lentement. De votre perspective, leurs horloges sembleraient aussi plus lentes. Cet effet serait d’autant plus prononcé que l’on se rapprocherait de la vitesse de la lumière.
Mais voici ce qui est surprenant : si vous aviez voyagé pendant quelques années, puis étiez revenu, accélérant ainsi au moins deux fois pendant votre voyage, et si vous aviez un frère jumeau sur la terre, vous le trouveriez maintenant plus âgé que vous5 ! Cela signifie que le temps total que vous auriez vécu dans votre vaisseau spatial serait en fait plus court que le temps tel que mesuré par les habitants de la terre. Cela s’explique par le fait que vous auriez fait votre voyage dans un « cadre temporel » différent en raison de la vitesse élevée et des accélérations de votre vaisseau spatial. Cette situation hypothétique nous permet d’avoir une vague idée de la complexité du temps6.
Le temps est, à vrai dire, quelque chose d’absolument étonnant ! Il échappe à notre pleine compréhension et à notre contrôle. Impossible de remonter le temps ! Quelle que soit notre anxiété, nous sommes incapables d’anticiper complètement l’avenir. Qu’on le comprenne ou non, le temps fonctionne ainsi ; nul ne peut échapper à cette logique.
On peut dire, en quelque sorte, que la vie est un sous-produit du temps. Le dictionnaire Cambridge donne la définition suivante du mot « vie » : « Période entre la naissance et la mort »7. Pour la biologie, la vie est le phénomène qui anime la matière8. Cependant, dans la vision hébraïque et biblique, la vie n’est pas simplement un phénomène biologique, mais un don divin dont l’origine et la finalité sont en Dieu9. Dieu, le donateur de la vie, a conçu les êtres humains pour qu’ils vivent éternellement. Mais la mort, hélas, est entrée dans l’histoire comme un élément malveillant, conséquence de la chute. La vie est alors devenue rapide et fugace.
Aujourd’hui, sur la base d’études – comme celles menées par les scientifiques Shino Nemoto et Toren Finkel, publiées dans la revue Nature10 – il est possible d’estimer l’espérance de vie d’un individu. En posant des questions allant de l’âge et du sexe au revenu annuel, et si l’individu a reçu des contraventions pour excès de vitesse au cours des derniers mois, on peut se faire une idée approximative du nombre d’années qu’il lui reste à vivre. Au fil des années, la science a déployé des efforts pour éviter ou retarder la mort. Cependant, même si quelquesuns d’entre eux ont quelque peu augmenté l’espérance de vie, les résultats, eux, n’ont pas réussi à rendre la vie humaine illimitée.
La vérité, c’est que la vie est courte ! Or, l’un des thèmes les plus récurrents de la Bible est précisément celui de la nature éphémère de la vie humaine. Tout comme la beauté éphémère des fleurs (Es 40.6-8), l’existence est sujette à l’usure et à l’éphémère. Ce thème est approfondi dans le livre de l’Ecclésiaste.
LEÇONS TIRÉES DU LIVRE DE L’ECCLÉSIASTE
L’Ecclésiaste – un livre attribué à Salomon – présente un style unique, insolite parfois. Un ton pessimiste imprègne le livre, sans doute en raison de l’état d’esprit de Salomon à l’époque. Après s’être détourné de la moralité – Salomon avait mené une vie dissolue, loin de Dieu, se livrant aux excès et aux festivités, tombant dans l’ivrognerie, sombrant dans l’immoralité et l’idolâtrie (1 R 11) – il a retrouvé ses convictions morales avant sa mort. Alors âgé et arrivé au bout de la route, il fait une rétrospective et médite sur le caractère éphémère de la vie. Désabusé par les plaisirs de ce monde, après avoir touché à tout ce qu’une vie somptueuse pouvait offrir, le vieux sage forme la conclusion suivante : « Vanité des vanités, tout est vanité » (Ec 1.2)11. Il qualifie les efforts de l’homme pour atteindre le bonheur de « poursuite du vent » (1.14), et conclut que tout n’est que douleur et frustration (2.22,23).
Ainsi, on voit dans l’Ecclésiaste que Salomon recherche quelque chose d’éternel – quelque chose de permanent qui donne un véritable sens à la vie. Ce livre contient deux mots-clés : « profit » et « vanité ». Le premier peut aussi être traduit par « valeur » (hébreu : yithron), ce qui correspond à la quête de Salomon. Le second est l’équivalent du mot hébreu hevel, « vapeur » ou « souffle », indiquant ce qui est mortel, éphémère ou fugace. On trouve, tout au long du livre, une tension entre ces deux idées.
Réfléchissant au caractère éphémère de la vie, Salomon accorde une attention particulière à la jeunesse. Il dit :
“« Jeune homme, réjouis-toi dans ta jeunesse, livre ton cœur à la joie pendant les jours de ta jeunesse, marche dans les voies de ton cœur et selon les regards de tes yeux ; mais sache que pour tout cela Dieu t’appellera en jugement. Bannis de ton cœur le chagrin, et éloigne le mal de ton corps ; car la jeunesse et l’aurore sont vanité. Mais souviens-toi de ton créateur pendant les jours de ta jeunesse, avant que les jours mauvais arrivent et que les années s’approchent où tu diras : Je n’y prends point de plaisir » (Ec 12.1-3).
Dans le texte ci-dessous, Salomon donne trois conseils aux jeunes : « réjouis-toi », « éloigne » et « souviens-toi ». En tenant compte du contexte général du livre, il est peu probable qu’au verset 1, Salomon fasse référence aux plaisirs du péché. La dernière phrase du verset renforce cette idée : « mais sache que pour tout cela Dieu t’appellera en jugement ». Il encourage les jeunes à profiter de la vie comme d’un don de Dieu. Ici, il fait référence aux plaisirs et aux joies typiques de la jeunesse, ceux qu’une personne plus expérimentée ne peut plus apprécier, du moins pas avec la même intensité. Le monarque d’Israël encourage ses lecteurs à profiter de cette période spéciale de la vie sans perdre de vue leur responsabilité envers Dieu.
Voici le deuxième conseil de Salomon (Ec 12.2) : « Bannis de ton cœur le chagrin, et éloigne le mal de ton corps ». Le mot hébreu raah (« mal ») comporte plusieurs nuances, y compris le mal moral et le péché12. Les mots « car la jeunesse et l’aurore [« la jeunesse et la vigueur », BFC] sont vanité » ne signifient pas que ces phases de la vie humaine n’ont pas d’importance. Compte tenu de la signification du mot « vanité » dans le texte original, la phrase a plus de sens si elle est comprise ainsi : « car l’enfance et la jeunesse sont éphémères ». Ce que Salomon semble enseigner ici, c’est que la vie, surtout pendant la jeunesse, est trop courte pour être gaspillée pour des choses ou des sentiments éphémères, surtout pour le péché. Selon Charles Spurgeon, les péchés de la jeunesse jettent les bases des chagrins de la vieillesse13.
Le troisième conseil de Salomon aux jeunes gens se trouve au verset 3 du chapitre 12. « Mais souviens-toi de ton créateur ». Le verbe hébreu zakar, « souviens-toi » est le même que celui utilisé dans Exode 20.8, où Dieu dit : « Souvienstoi du jour du repos, pour le sanctifier. » Le verbe zakar n’implique pas une simple perception mentale ou le simple fait de se souvenir. Se souvenir de quelqu’un ou de quelque chose suppose une action correspondante concrète.
On trouve un exemple de cela dans 1 Samuel 1.19, où il est dit que le Seigneur s’est souvenu d’Anne. Dans ce cas, Dieu ne s’est pas contenté de se souvenir d’elle, il a agi en sa faveur et elle a conçu un fils14. Ainsi, lorsque Salomon conseille aux jeunes de se souvenir de leur créateur dans leur jeunesse, il s’attend de les voir agir, de les voir faire quelque chose de concret.
Le chapitre 12 se poursuit par une description métaphorique de la vieillesse, comparant le corps humain à une maison qui se dégrade avec le temps. Cette description atteint son point culminant au verset 7 (BFC) : « Le corps de l’homme s’en retourne à la terre d’où il a été tiré et le souffle de vie [voir ruach, « souffle de vie »] s’en retourne à Dieu qui l’a donné », aboutissant ainsi à la mort. En fait, le conflit entre la vie et la mort est une autre idée qui imprègne l’Ecclésiaste.
Un peu plus tôt, au chapitre 7, Salomon va jusqu’à dire qu’il vaut mieux aller dans une maison où l’on pleure que dans une maison où l’on festoie, parce que dans la première « c’est là la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose à cœur » (v. 2). Comment peut-on dire qu’il est préférable d’assister à des funérailles plutôt qu’à une fête ? Nous devons, à nouveau, tenir compte du contexte du livre et de son ton globalement pessimiste. Cependant, malgré la négativité de son langage, l’Ecclésiaste, inspiré par Dieu, présente des vérités profondes qui nous obligent à nous arrêter et à réfléchir.
Dans ce texte, Salomon n’a pas l’intention d’interdire d’assister à une fête. Jésus a assisté à des noces et à plus d’un enterrement. Ici, l’invitation est à la réflexion. Devant un cercueil, c’est l’occasion de réfléchir à la brièveté, à la fragilité et à la fugacité de la vie. Nous sommes incités à considérer les occasions qui s’offrent à nous au cours des quelques années que nous passons sur terre. Soudain, nous sommes saisis d’un sentiment de menace envahissant. En un instant, notre imagination s’envole et nous nous voyons là, à la place du défunt. Une voix étrange semble chuchoter à notre oreille : « Demain, ce sera peut-être ton tour… » C’est inévitable ! Les générations se succèdent et la vie suit implacablement son cours.
AFFRONTER LA BRIÈVETÉ DE LA VIE AVEC SAGESSE
La mort est, en vérité, un sujet très désagréable – un sujet qu’en général, on essaie d’éviter. La plupart des gens ne pensent pas qu’il soit souhaitable de vivre dans l’ombre d’un thème aussi sinistre, contrairement à certains présumés « pessimistes philosophiques » qui attribuaient une valeur négative à la vie et à l’existence, la considérant comme fondamentalement dépourvue de sens ou de finalité. Bien que nous vivions dans un monde obscurci par le péché, Dieu veut que nous vivions dans l’espérance (Lm 3.18-27). Mais l’espérance ne nous fait pas seulement regarder au-delà de la tombe, anticipant la gloire immortelle réservée à ceux qui sont fidèles à Dieu (Ap 21 ; 22) ; elle nous aide aussi à être plus humbles et à utiliser à bon escient le peu de temps que nous avons en ce monde.
Face à la réalité de la mort, vivons avec sagesse. La réflexion sur la brièveté de la vie devrait éveiller en nous quelques questions : Qu’ai-je fait du don de la vie ? Comment ai-je utilisé mes années sur terre ? Aujourd’hui, combien de personnes ont été bénies par mon existence, mes paroles et mes actes ? Ai-je servi mon Seigneur ? Qu’ai-je fait pour lui et combien de temps lui ai-je consacré ? Ai-je honoré Dieu ? Le jour où je fermerai les yeux, quel souvenir aura-t-on de moi ? Quelles traces laisserai-je dans le monde ?
Dans une histoire dont l’auteur auteur est inconnu, un professeur dialoguait avec son étudiant. Au cours de la conversation, il a posé plusieurs questions au jeune homme.
« Dis-moi, quels sont tes projets après tes études secondaires ?
– Je pense faire mes études supérieures et ensuite m’inscrire à la faculté de médecine, répond le jeune.
– Et après ça ?
– Après ça ? Eh bien, je suppose que j’obtiendrai mon diplôme.
– Et après ?
– Je vais ouvrir mon propre cabinet et m’efforcer d’assurer ma situation financière.
– Et après ?
– Après, je vais trouver la femme de ma vie, me fiancer, et me marier.
– Et après ?
– Nous aurons probablement des enfants, répond l’étudiant de plus en plus mal à l’aise.
– Et après ?
– Bien, après les enfants, il y aura les petits-enfants, je ne sais pas.
– Et après ?
– Eh bien… je serai de plus en plus vieux.
– Et après ?
– Alors, je crois que je vais mourir. »
Le prof fait une pause, puis revient à la charge. « Et après ? » Confus et dépité, cherchant une réponse qu’il n’avait pas, le jeune homme a compris la leçon.
Quel est donc le grand message de l’Ecclésiaste ? Simplement que la vie passe vite et qu’il faut donc la vivre intensément. Cependant, Salomon, appelé « prédicateur » (DRB) dans le livre, nous rappelle qu’une seule chose peut donner un véritable sens à la vie : une relation engagée avec Dieu. Cette vérité est reprise dans la conclusion du livre :
« Écoutons la fin du discours : crains Dieu et observe ses commandements. C’est là ce que doit faire tout homme. Car Dieu amènera toute œuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal. » (Ec 12.15,16).
Les derniers versets de l’Ecclésiaste sont un appel à une vie responsable, vécue avec les yeux fixés sur le ciel. Vivre dans la perspective du jugement divin, loin d’être un appel à la terreur, est le moyen de ne pas perdre Dieu de vue. Il est le but ultime de l’existence et celui à qui nous devons tout, y compris la vie.
La conclusion de l’Ecclésiaste renvoie à l’au-delà, lorsque nous comparaîtrons « devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant dans son corps » (2 Co 5.10). En ce jour, ceux qui auront cherché à vivre avec sagesse, en communion avec le Seigneur et en suivant les principes immuables de la loi divine, recevront une vie qui ne s’arrêtera jamais.
C’est pourquoi, vous qui êtes encore jeune, profitez de la vie, oui, mais choisissez de marcher de concert avec Dieu !
Eduardo Rueda Neto Titulaire d’un doctorat en théologie de l’université pontificale de São Paulo, au Brésil, est rédacteur à la maison d’édition Brazil Publishing House, à Tatuí, dans l’État de São Paulo, au Brésil. Son courriel : eduardo.rueda@cpb.com.br.
Citation recommandée
Eduardo Rueda Neto, « La jeunesse et le caractère éphémère de la vie : Réflexion sur L’ecclésiaste », Dialogue 36 (2024/2), p. 5-9
NOTES ET RÉFÉRENCES
- Saint Augustin, The Confessions of St. Augustine, Edward Bouverie Pusey, trans., Oak Harbor, Wash., Logos Research Systems, 1999, book 11, chap. XIV, p. 158, https://www.documentacatholicaomnia.eu/03d/0354-0430,_Augustinus,_Confessionum_Libri_TredecimPusey_Transaltion,_EN.pdf.
- Voir l’ouvrage intitulé der reinen Vernunft [Critique de la raison pure], publié originellement en 1781.
- Pour comprendre comment d’autres penseurs ont conçu l’idée du temps, voir Nicola Abbagnano, Dizionario di Filosofia, Turin, Unione Tipografico-Editrice Torinese, 1971, s.v., « Tempo ».
- Actuellement, la vitesse la plus rapide atteinte par un objet fabriqué par l’homme dans l’espace a été réalisée par la sonde Parker Solar Probe de la NASA, laquelle a atteint une vitesse de 635 266 kilomètres à l’heure le 27 septembre 2023. Le vaisseau spatial de notre expérience de pensée est donc purement imaginaire. Voir aussi earth.com, « Meet the Fastest Human-made Object Ever, NASA’s Parker Solar Probe », https://www.earth.com/news/meet-the-fastesthuman-made-object-ever-nasas-parker-solar-probe/ ; et NASA, « For the Record: Parker Solar Probe Sets Distance, Speed Marks on 17th Swing by the Sun », https://go.nasa.gov/4173Mf3.
- Adapté de Victor Civita, éd., « As teorias que abalaram o mundo », Enciclopédia Conhecer, São Paulo, Editora avril 1973, vol. 1, p. 11481149. Voir aussi Sidney Perkowitz, s.v., « Twin Paradox », Britannica, https://www.britannica.com/science/twin-paradox.
- Je tiens à remercier mon ami, le professeur Eduardo Lütz, astrophysicien nucléaire, pour sa révision conceptuelle de cette illustration.
- Cambridge Dictionary, s.v., « Life », https://dictionary.cambridge.org/us/dictionary/english/life.
- Vincent Joseph Torley, The Anatomy of a Minimal Mind. PhD dissertation, Université de Melbourne, 2007, https://www.angelfire.com/ linux/vjtorley/Anatomy.pdf.
- Alfonso Lockward, Nuevo Diccionario de La Biblia, Miami, Editorial Unilit, 2003, p. 1 049.
- Shino Nemoto et Toren Finkel, « Ageing and the Mystery at Arles », Nature 429:6988, 13 mai 2004, p. 149-152.
- Sauf mention contraire, toutes les citations des Écritures sont tirées de la version Louis Segond 1910.
- Francis Brown, S. R. Driver, et Charles A. Briggs, Enhanced BrownDriver-Briggs Hebrew and English Lexicon, edition électronique, Oak Harbor, Wash., Logos Research Systems, 2000, 949.1.
- Charles H. Spurgeon, The Treasury of David, An Exposition on the Book of Psalms, vol. 1, Psaumes 1-26, Bellingham, Wash., Logos Research Systems, 2009, p. 402. Voir aussi Warren W. Wiersbe, Be Satisfied (Ecclesiastes): Looking for the Answer to the Meaning of Life, The BE Series Commentary, édition électronique, Wheaton, Ill., Victor Books, 1996, s.v., Ecclesiastes 11.10.
- Earl D. Radmacher, Ronald B. Allen, et H. Wayne House, éds., Nuevo Comentario Ilustrado de la Biblia [Nouveau commentaire biblique illustré, édition espagnole], Nashville, Editorial Caribe, 2003, p. 774