Partager la vérité de la parole de Dieu avec amour : Une réponse biblique à la sexualité actuelle

En tant que chrétiens, nous condamnons toute violence faite à l’encontre d’un être humain. Elle est non seulement inappropriée, mais constitue aussi une violation de la loi morale de Dieu. Romains 5.8 dit : « Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous¹. »

Comme nous avons tous hérité d’une nature humaine déchue et d’une propension au mal, nul ne peut penser être supérieur à autrui de quelconque manière, ni le considérer avec haine à cause de ses actes. Jérémie 17.9 nous dit : « Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant », et selon Romains 3.23, « tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ».

La haine n’a pas sa place. Nous sommes sauvés par grâce. Nous nous reposons dans l’amour de Dieu. Dans l’éthique chrétienne, nous respectons la liberté de choix des autres, même si nous n’approuvons pas leurs choix. Ainsi, en tant que chrétiens, il importe de séparer notre compassion pour nos semblables de leurs comportements ou de leurs actes qui sont contraires à la volonté de Dieu.

La Bible est très claire : « Ne vous laissez pas modeler par le monde actuel » (Rm 12.2, SEM), « mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence » (LSG). Paul nous invite à sortir de la culture et à la changer, à briller « comme des flambeaux dans le monde » (Ph 2.15). Si nous marchons dans la lumière comme Jésus est dans la lumière, nous marchons dans la vérité de sa Parole. L’Église a pour objectif de transformer la culture, et non d’être modelée par elle.

LA BASE BIBLIQUE DE LA SEXUALITÉ

En matière de sexualité humaine, que nous révèlent les Écritures ?

Dans Genèse 1.27,28, nous découvrons la base de la compréhension de la sexualité humaine. « Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez ».

L’expérience « une seule chair » de l’homme et de la femme (Gn 2.24) révèle l’image divine et l’amour extraordinaire de Dieu. Cet amour se manifeste le plus pleinement lorsqu’un homme et une femme créés à l’image de Dieu se donnent l’un à l’autre dans un amour sacrificiel, comme Jésus l’a fait pour nous. Dieu a créé l’homme et la femme – deux sexes distincts et séparés – 1) pour révéler l’image de Dieu dans la perfection de leur amour l’un pour l’autre, et 2) pour étendre la race humaine : « Soyez féconds, multipliez » (Gn 1.28).

Jésus affirme que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme : « Il répondit : N’avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l’homme et la femme et qu’il dit : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ? Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint. » (Mt 19.4-6)

Un mariage homosexuel entre deux hommes ou deux femmes nie les différences biologiques, physiologiques et psychologiques évidentes entre les hommes et les femmes. Il nie la réalité de l’union d’un mari et d’une femme et que, de cette union sacrée d’amour sacrificiel, il y ait procréation d’enfants.

PRINCIPES DE VIE

Dans le Lévitique, Dieu énonce des principes de vie pour son peuple. Dans Lévitique 18, on trouve ce que certains appellent le « code de pureté »². Ce code traite non seulement de la loi cérémonielle, mais aussi des normes morales et éthiques – de l’adultère, de l’idolâtrie et de la dépravation sexuelle.

« Tu ne coucheras pas avec la femme de ton prochain pour te rendre impur avec elle. » (Lv 18.20, S21) Il s’agit du septième commandement, relatif à l’adultère. « Tu ne livreras aucun de tes enfants pour le faire passer à Moloc, et tu ne profaneras point le nom de ton Dieu. Je suis l’Éternel. » (v. 21) De quels commandements s’agit-il ici ? Du premier, du deuxième et du troisième. Ensuite : « Tu ne coucheras point avec un homme comme on couche avec une femme. C’est une abomination. » (v. 22) Nous avons déjà vu les commandements mentionnés dans ces versets. Il ne s’agit donc pas seulement d’un code de pureté ou de sainteté, mais aussi de normes morales et éthiques.

Dans un communiqué intitulé L’homosexualité, les Écritures, et l’Église, Ekkehardt Mueller, ancien directeur adjoint de l’Institut de recherche biblique, a écrit : « Tout d’abord, ces deux textes décrivent et condamnent l’activité homosexuelle masculine. Aucune exception n’est mentionnée. Il est évident qu’ils s’opposent à toute activité homosexuelle. Cependant, il est très probable qu’ils incluaient le lesbianisme³ . »

Ce célèbre érudit explique que l’interdiction des relations sexuelles entre hommes dans Lévitique 18 est bien plus qu’un simple code de sainteté pour les peuples anciens dans le cadre de la loi cérémonielle ; elle est liée à la loi morale des dix commandements. Ainsi, le code de pureté n’est pas simplement quelque chose pour les peuples anciens. Ses principes fondamentaux nous aident à définir la vérité sur la sexualité humaine.

L’HOMOSEXUALITÉ : HÉRIDITAIRE OU ACQUISE ?

Un article fascinant publié dans la revue très renommée Nature s’intitule « No Gay Gene’ : Massive Study Homes in on Genetic Basis of Human Sexuality » [« Il n’y a pas de gène gay : étude de grande envergure sur les fondements génétiques de la sexualité humaine »]. Cet article rapporte une étude menée par des chercheurs de Harvard et de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT). Après avoir étudié les génomes de près d’un demi-million de personnes, les chercheurs ont conclu qu’il n’existait pas de « gène gay »⁴.

Des études fascinantes ont aussi été menées sur des jumeaux identiques. On pourrait s’attendre à ce que de tels jumeaux aient les mêmes dispositions génétiques. Comment se fait-il alors qu’un jumeau identique (un très faible pourcentage) puisse avoir des tendances homosexuelles, alors que l’autre jumeau, lui, n’en a pas ? S’ils sont génétiquement identiques, on pourrait s’attendre à ce qu’ils en aient tous les deux. Or, des recherches menées sur des jumeaux nés en Suède entre 1959 et 1985 indiquent que ce n’est pas toujours le cas⁵.

Mais supposons que certaines personnes naissent avec des tendances aux relations sexuelles entre hommes et hommes ou entre femmes et femmes. Ces tendances sont-elles pour autant conformes à la volonté de Dieu ? Supposons qu’un homme naisse avec de forts désirs sexuels pour les femmes et qu’il ait beaucoup de mal à contrôler de tels désirs. Cela signifie-t-il que ses tendances sont pour autant conformes à la volonté de Dieu ? Et que dire d’une personne née avec une propension à l’alcoolisme ou à la toxicomanie en raison d’une prédisposition génétique ? Cette propension estelle pour autant conforme à la volonté de Dieu ?

David a dit : « Voici, je suis né dans l’iniquité, et ma mère m’a conçu dans le péché. » (Ps 51.7) Nous sommes tous en proie à la faiblesse. Nous avons tous hérité d’une nature humaine déchue et d’une propension au mal. Nous ne comprenons pas toutes les raisons des tendances LGBTQ+. Il existe peut-être des raisons génétiques, sociales ou environnementales. C’est une situation très complexe. Encore une fois, je tiens à souligner que nous tendons la main par amour à tous les êtres humains. Et même si nous acceptons tous les êtres humains sur la base de la Parole de Dieu, nous ne pouvons, en tant que chrétiens, approuver tous les comportements.

IL Y A DE L’ESPOIR

Quels que soient les penchants qu’un être humain puisse avoir, il y a une bonne nouvelle, une nouvelle extraordinaire ! « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » (2 Co 5.17)

Si nous sommes en Christ, nous sommes de nouvelles créatures ! Il y a de l’espoir pour ceux qui éprouvent des désirs sexuels et les expriment en dehors du mariage, pour ceux qui ont commis l’adultère et n’arrivent pas à maîtriser leurs passions, pour ceux qui entretiennent des relations LGBTQ+. Cet espoir réside dans la puissance et la grâce de Jésus-Christ. « Là où le péché a abondé, la grâce a surabondé » (Rm 5.20). Lorsque nous chutons, Christ nous pardonne ; sa grâce entre dans nos vies, nous transforme, et fait de nous de nouvelles créatures !

Dans 1 Corinthiens 6.9-11, l’apôtre Paul parla à l’église de Corinthe – laquelle vivait au sein d’une société impie et immorale – de la puissance incroyable de la grâce divine. Il y alla d’abord d’un avertissement : « Ne savez-vous pas que les injustes n’hériteront point le royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n’hériteront le royaume de Dieu. Et c’est là ce que vous étiez, quelques-uns de vous. »

Ensuite, il leur rappela cette espérance extraordinaire : « Mais vous avez été lavés » – autrement dit, Dieu les a purifiés par la grâce du Christ. Il les a transformés. « Mais vous avez été sanctifiés » – Dieu les a mis à part pour lui. « Mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus-Christ, et par l’Esprit de notre Dieu. » (1 Co 6.11)

L’incroyable bonne nouvelle est la suivante : quelles que soient les tendances dont nous avons hérité ou que nous avons entretenues en raison de notre nature déchue, qui que nous soyons, hétérosexuels ou homosexuels, la grâce du Christ peut nous transformer !

Ellen White fait une merveilleuse déclaration sur ce point dans le livre Le ministère de la guérison. « Ceux qui se confient dans le Christ ne sont asservis à aucune habitude, ni à aucune tendance mauvaise, héréditaire ou acquise. Au lieu d’être soumis à leurs bas instincts, ils dominent leurs passions. Dans cette lutte contre le mal, Dieu ne nous a pas laissés seuls. Quelles que soient nos tendances, innées ou acquises, nous pouvons les vaincre par la force qu’il veut nous communiquer⁶ . »

Quelle merveilleuse espérance ! « Le Christ a donné la plénitude de la puissance divine de son Esprit pour que nous puissions vaincre nos défauts, héréditaires ou acquis, et pour que l’Église reçoive l’empreinte de son caractère⁷. »

PAUL ET LA SEXUALITÉ

L’épître aux Romains exalte la croix du Christ, la justification par la foi, et la puissance transformatrice de l’Évangile. Pour montrer la suprématie du Christ et démontrer notre besoin désespéré de salut et de justification, Paul indique d’abord l’état de perdition de l’humanité. Dans Romains 1, il traite de l’égarement, de l’infamie et de la méchanceté du monde païen. Dans Romains 2, il souligne que les Juifs, bien qu’ils aient les oracles et les prophètes de Dieu, leur ont désobéi. Dans Romains 3, nous lisons que tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. Mais Paul explique dans Romains 4 à 6 qu’il y a un salut et une justification en Christ. Dans Romains 7, il passe par un grand combat, mais dans Romains 8, il découvre qu’en Jésus-Christ, il n’est plus condamné et que le péché ne domine plus sur lui. Comme Paul, nous ne sommes plus dominés par le péché parce que nous en sommes affranchis en Jésus dans le contexte du plan du salut.

En dressant la liste des péchés du monde païen, Paul aborde le concept de la sexualité humaine. « C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature ; et de même les hommes, abandonnant l’usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. » (Rm 1.26,27)

Remarquez que Paul parle de l’abandon par les hommes de l’usage naturel des femmes. Pourquoi se sert-il de l’adjectif naturel ? Parce qu’il traite de la création. L’ordre « naturel » de la création veut qu’un homme et une femme se marient. Mais, dit-il, ils changent l’usage naturel établi à la création, ce qui indique que l’homosexualité est contre nature. Juste avant, au verset 25, il écrit : « Eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur ».

Dans la Bible d’étude Andrews Study Bible, des érudits spécialisés dans l’Ancien et le Nouveau Testament commentent : « Ces versets [Rm 1.26,27] condamnent les activités homosexuelles. La sexualité contre nature, cependant, va au-delà des comportements homosexuels. Le NT [Nouveau Testament] ne sanctionne que la relation monogame entre un homme et une femme. Il condamne toutes les autres formes d’activité sexuelle, qu’elles soient homosexuelles ou hétérosexuelles⁸. »

DES DÉFENSEURS BIBLIQUES CONVAINCUS

En 2012, l’Église adventiste a publié une déclaration de réaffirmation qui ne laisse aucun doute sur la position de l’Église sur cette question :

« Nous réaffirmons, sans hésitation, notre position de longue date, telle qu’elle est exprimée dans les croyances fondamentales de l’Église : “Le mariage a été institué par Dieu en Éden. Jésus déclare qu’il s’agit d’une union à vie entre un homme et une femme qui marchent ensemble dans l’amour.” […] Dieu a institué “le mariage – une union fondée sur l’alliance entre deux sexes [homme et femme] sur le plan physique, émotionnel et spirituel, que les Écritures qualifient de ‘une seule chair’”. L’union monogame dans le mariage d’un homme et d’une femme constitue […] le seul objectif moralement approprié de l’expression sexuelle génitale ou intime qui y est associée. Tout abaissement d’un principe élevé est, dans cette mesure, un abaissement de l’idéal céleste […] » Cette déclaration décrit comment l’homosexualité est une manifestation de la perturbation et de la faiblesse de la nature humaine, mais elle se termine par cette importante affirmation : « Nous estimons que toute personne, indépendamment de son âge et de son sexe, a le droit de vivre dans la dignité. Nous affirmons que toute personne, quelle que soit son orientation sexuelle, est aimée de Dieu. Nous jugeons inacceptable qu’un groupe soit la cible du mépris ou de la dérision, et encore plus de la maltraitance. Cependant, la Parole de Dieu, laquelle transcende les époques et les cultures, n’autorise pas un mode de vie homosexuel. L’opposition de la Bible à l’union/au mariage entre personnes de même sexe est ancrée dans le plan de Dieu pour le mariage lors de la création […], dans la loi divine […], et dans la confirmation explicite par Jésus d’une relation permanente, monogame et hétérosexuelle […] »⁹.

L’Église adventiste a donc été très claire à ce sujet. Ceci dit, nous devons faire une distinction entre l’orientation LGBTQ+ et l’acte lui-même. En raison de notre nature déchue, nous avons tous des passions, des désirs et des orientations ; mais par la grâce de Dieu, nous pouvons choisir de ne pas agir en conséquence d’une telle nature. Aimer nos semblables ne signifie pas qu’on approuve les actes qui ne sont pas conformes à la volonté de Dieu. Le plus grand acte d’amour qu’on puisse faire envers eux, c’est de partager la vérité de la grâce étonnante du Christ, par laquelle il pardonne notre passé, transforme notre présent, et nous donne un avenir rempli d’espérance.

Jésus nous invite, en tant que frères et sœurs en Christ, à tendre la main à nos semblables en partageant la vérité de la Parole de Dieu avec bonté et compassion, reconnaissant que si un homme ou une femme est en Christ, il/elle est une nouvelle créature, et reconnaissant que la grâce de Dieu, la puissance de Dieu, est plus grande que n’importe quel péché. Il n’y a pas de péché dont Dieu ne puisse nous délivrer par sa grâce et sa puissance. Accueillons-nous donc et aimons-nous suffisamment pour partager la vérité de la Parole de Dieu, pour prier ensemble, et pour observer une nouvelle création émerger dans chacune de nos vies.

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Cet article est extrait d’un message vidéo que Mark Finley a donné le 4 août 2023, et a été adapté avec la permission de Stronger Together, mars 2024.

Mark Finley est assistant du président de la Conférence générale. Mark et Ernestine « Teenie », sa femme, sont engagés dans le ministère depuis plus de 40 ans.

Citation recommandée

FINLEY Mark, « Partager la vérité de la parole de Dieu avec amour : Une réponse biblique à la sexualité actuelle », Dialogue 37 (2025/1), p. 9-13

NOTES ET RÉFÉRENCES

1. A Sauf mention contraire, toutes les citations des Écritures sont tirées de la version Louis Segond 1910.
2. « Les chapitres 17 à 26 du Lévitique (et souvent le chapitre 27) sont une section du livre que les érudits bibliques appellent en général « le code de sainteté ». Ces chapitres se démarquent par leur préoccupation pour une vie sainte chez les gens plutôt que par une préoccupation pour les systèmes sacrificiels ou la pureté rituelle, comme dans les 16 premiers chapitres du livre. La sainteté de vie à laquelle le code de sainteté appelle les gens doit être illustrée dans tous les domaines de la vie – économique, social, sexuel, familial » ; tapez the Bible, Leviticus 17–27 – The Holiness Code, https://enterthebible.org/passage/leviticus-17-27-the-holiness-code.
3. Ekkehardt Mueller, Homosexuality, Scripture, and the Church, Biblical Research Institute, Release 6, Silver Spring, General Conference of Seventh-day Adventists, 14 mai 2010, http:// adventistbiblicalresearch.org/wp-content/uploads/BRIRelease-6-2.pdf.
4. Jonathan Lambert, « No ‘Gay Gene’: Massive Study Homes in on Genetic Basis of Human Sexuality », News column, 29 août 2019, dans Nature 573:7772, 5 septembre 2019, p. 14, 15, cite dans Bennett McIntosh, « There’s (Still) No Gay Gene », Harvard Magazine, 29 août 2019, http://harvardmagazine.com/2019/08/there-s-still-no-gay-gene.
5. Michael Balter, « Gay Is Not All in the Genes », Science, 30 juin 2008, http://science.org/content/article/gay-not-all-genes.
6. Ellen G. White, Le ministère de la guérison, p. 148.
7. Idem., Jésus-Christ, p. 675.
8. Andrews Study Bible, Berrien Springs, Mich., Andrews University Press, 2010, vol. 1, p. 469.
9. « Same-sex Unions », document officiel de l’Église adventiste du septième jour, voté par le comité exécutif de la Conférence générale des adventistes du septième jour le 17 octobre 2012, http://adventist.org/documents/same-sex-unions/.